Les enfants de ma voisine sont sans arrêt gardés par leurs grands-parents ; et au pied levé ! Et moi, pour que mes parents viennent, je les supplie et je dois les prévenir au moins 3 semaines à l’avance ! Quand ma belle-mère est là, elle passe des heures à jouer avec eux, elle leur raconte sa vie quand elle était jeune. Les enfants l’adorent. En revanche je suis furax quand elle me dit qu’elle les trouve mal habillés. En fait, elle est plus délicate, elle me dit que ce n’est pas à son goût ! Mais bon, ça veut quand même dire que je les habille comme des sacs !
Mon père est génial avec les ados, lui qui nous écoutait à peine et nous disait toujours « tu peux mieux faire ». Il est un vrai soutien pour notre fils de 14 ans qui est mal dans sa peau et qui se cherche. Il l’écoute sans le juger, et s’intéresse même à ses posts tik tok que je trouve juste débiles…
Et là ça me chicotte comment trouver sa place quand on est grand-parent ? Et nous parents, comment leur laisser une juste place ?
Saviez-vous que 70 % des grands-parents jouent un rôle actif dans la vie de leurs petits-enfants aujourd’hui ? Mais comment gérer les attentes et les défis ?
Imaginez un instant votre rôle de grand-parent comme un arbre majestueux au centre d’un jardin familial. Ses racines profondes symbolisent l’histoire, les traditions, et les valeurs transmises de génération en génération. Ses branches, elles, s’étendent vers le ciel, offrant un soutien et une ombre apaisante à ceux qui en ont besoin.
Mais que se passe-t-il lorsque cet arbre est sollicité trop souvent ou lorsqu’on attend de lui qu’il pousse dans toutes les directions à la fois ?
Aujourd’hui, nous allons explorer ensemble ce que signifie être grand-parent dans le monde d’aujourd’hui, un rôle riche de sens, et aussi complexe. Et surtout comment chacun peut prendre sa place !
Pourquoi le rôle des grands-parents a-t-il changé ?
L’impact de la structure familiale et géographique
Là où nous vivons
Il y a quelques décennies, le rôle des grands-parents était assez clair. Parfois, tout le monde habitait sous le même toit ou dans un même village, un même quartier ou au pire une même région. Aujourd’hui tout est éclaté, parfois la famille est éparpillée autour du monde.
L’éclatement des familles
Il y a 50 ans, les enfants avaient 4 grands-parents et de 6 à 10 petits-enfants. Aujourd’hui, avec les familles recomposées et la baisse de la natalité, la tendance est inversée. C’est plus 6, 8 grands-parents et 3 petits enfants. D’après ce que j’entends et observe, les grands-parents les plus sollicités sont ceux des familles monoparentales. Élever seul un enfant, c’est difficile. Les moyens financiers sont plus faibles aussi.
L’espérance de vie est différente !
Les grands-parents de 65-70 ans d’aujourd’hui n’ont rien à voir avec ceux d’il y a 40 ans. Leur statut social n’est plus uniquement être grand-parent ! Certains travaillent encore, ont des activités, des engagements et peuvent se montrer moins disponibles à un moment où les jeunes parents peuvent avoir besoin d’eux. Parfois, les grands-parents et la nouvelle génération sont en décalage. Certains aimeraient être plus présents et les enfants ne leur en laissent pas l’opportunité. Et a contrario, certains parents aimeraient plus de disponibilité de la part des grands-parents et ces derniers ne veulent pas se laisser esclavagiser !
Comment ceux qui deviennent grand-parent le vivent ?
Après tout c’est un statut non choisi ! Certains ont l’impression de vieillir d’un coup. Pour eux, devenir grand-parent est aussi un révélateur du temps qui passe. D’ailleurs, il est intéressant de noter que papy et mamy ont presque disparu du vocabulaire laissant la place à d’autres surnoms.
Devenir grands-parents, c’est aussi accepter que son enfant devienne à son tour parent et prend sa place de parent. Les grands-parents se sentent projetés à la place de leurs propres parents et se sentent un peu plus poussés vers le départ !
Ils sont relégués à un rôle plus périphérique. La cellule familiale se modifie : finis les enfants et les parents. Il y a les +1 à négocier, de valeurs ajoutées à pièces rapportées, ils arrivent avec leurs valeurs, leurs habitudes et leurs traditions. Et même parfois des enfants de leurs précédentes unions. L’adoption du +1 reste tout de même le témoin et un marqueur des liens qu’il y aura avec les petits-enfants.
Au moment de la naissance d’un bébé, les enfants demandent à leurs parents comment ils vont se faire appeler, mais jamais comment ils ont envie de s’investir, de s’impliquer. Trop peu de familles ont ces discussions ! Qu’est-ce que chacun attend de l’autre ? Qu’attendent-ils des grands-parents ? Quels sont les attentes des grands-parents ? Nous ne nous posons pas assez souvent cette question ? En y répondant, c’est un bon moyen pour trouver sa juste place
La grand-parentalité moderne dans le nouveau modèle éducatif
Nous pourrions dire que c’est une petite révolution éducative, parfois même une rupture de transmission dans le sens où au début du 20ème siècle, globalement, les enfants élevaient leurs enfants comme ils avaient été élevés.
Respect, manière de table, forme de politesse… Certains grands-parents ont du mal à comprendre l’éducation non violente.
Une éducation que eux même n’ont pas reçue.
Pour certains d’entre eux, ils ont pu être mal traités tout en disant aujourd’hui « qu’ils n’en sont pas morts ! » et c’est vrai !
Cependant, éviter de faire vivre quelques traumas à des enfants est plutôt salvateur. Se sentant peu entendus dans leurs nouvelles normes, les jeunes parents vont chercher à travers les réseaux sociaux, les podcasts ou autres des repères qui sont parfois très contradictoires et très insécurisants.
De ce fait, parfois, les grands-parents ont du mal à se positionner. Ils sont bousculés et se sentent incompris !
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Les plus grands défis des grands-parents aujourd’hui
La relation grands-parents petits-enfants
Les petits-enfants abordent souvent beaucoup de sujets avec leurs grands-parents qu’ils n’abordent pas avec leurs parents. Les grands parents sont comme un îlot de sécurité. Et ça aujourd’hui, nous savons combien c’est important. Les travaux de John Bowlby sur la théorie de l’attachement sont devenus l’indispensable de toute éducation.
Nous pouvons illustrer le lien d’attachement entre le parent et son enfant comme un fil. En effet, dans les premiers moments de sa vie, le bébé crée un lien aussi fin qu’un fil de couture avec ses figures d’attachement. Plus ces personnes répondent de manière cohérente et adaptée à ses besoins, dans la bienveillance, le sourire et la tendresse, et plus ce fil va se renforcer et s’allonger. Ce qui va permettre à l’enfant de construire sa confiance en lui. Mais aussi de renforcer sa base de sécurité et donc explorer son environnement en toute confiance.
L’enfant et le stress
Cependant dans les moments de stress, l’enfant va se tourner vers sa figure d’attachement présente pour être rassuré, comme s’il revenait se blottir auprès de sa figure d’attachement dans une tente bien protégée de son environnement parfois hostile. Pour un bébé, ça va être le fait que sa figure d’attachement reconnaisse qu’il a faim, qu’il se sent seul, qu’il est mal avec la couche trempée, qu’il a mal au ventre, aux dents… Fini le temps où on laissait le bébé pleurer pour qu’il se fasse les poumons. Les longs pleurs d’un bébé leur procurent beaucoup d’insécurité
Chez l’enfant, les moments où il pleure car il est tombé, ou qu’il a peur devant un chien, ou qu’il est en colère qu’on lui ait pris son jouet ont besoin d’être reconnus et entendus. Finis les « mords sur ta chique, endurcis toi, c’est pas dangereux… » Le fait de reconnaître ce que l’enfant vit va le sécuriser. Il va apprendre petit à petit à nommer ce qu’il ressent et ainsi exprimer ce dont il a besoin. Et il peut ainsi repartir dans son exploration.
Aujourd’hui, nous pouvons dire que 60% des adultes sont dans un système d’attachement sécure. Le reste, ce sont les attachements insécures qui se partagent entre évitant 25% (je ne peux compter que sur moi-même), ambivalent 20% (peur de perdre l’être aimé) ou désorganisé (va-t’en mais ne m’abandonne pas). #153 je suis sécure affectivement Ce qui montre combien un attachement sécure est important pour la santé mentale de l’enfant et du futur adulte. Rassurez-vous, pas besoin d’être parfait, juste suffisamment bon. C’est ce que dit Donald Winnicott à propos des mères « être suffisamment bonnes ».
La gestion des conflits générationnels
Une des caractéristiques des grands-parents est de faire des choses qu’on ne peut pas faire avec ses parents ! Trouver des compromis. Prenons l’exemple de cette grand-mère qui adore offrir des sucreries à ses petits-enfants. A chaque fois, ça provoque des tensions avec sa fille qui préfère limiter le sucre. Elles ont pris le temps de discuter et ont trouvé une alternative : préparer ensemble des snacks sains, comme des fruits déguisés en animaux rigolos. Résultat ? Tout le monde est satisfait.
Avec les grands-parents, on peut manger des bonbons, regarder la TV, se coucher plus tard et c’est OK. Bien sûr avec modération. Les parents ont besoin d’être tolérants avec ça ! Que les parents se rappellent ce qu’ils ont vécu avec leurs grands-parents. Les quelques entorses aux règles familiales ont quelque chose de savoureux !
A noter que c’est vraiment important de laisser aux parents les découvertes fondamentales avec leurs enfants. Comme avoir envie d’emmener ses petits-enfants pour un premier séjour aux sports d’hiver sans les parents est peut-être un peu trop !
Les parents sont parfois réticents à laisser leurs enfants à leurs parents. Quand on a eu une enfance pleine de traumas, effectivement, c’est plus difficile de confier ses enfants à ses parents. Bien que tout soit dans la nuance, certains parents qui ont été difficiles, peuvent être très différents avec leurs petits-enfants. Ils peuvent essayer de rattraper un lien qu’ils ont peu créé avec leurs propres enfants ou voire même essayer de réparer ce lien s’il est abîmé. Un père élevé avec comme 1ère valeur de ramener de l’argent à la maison peut regretter d’avoir passé si peu de temps avec ses enfants et peut se rattraper avec ses petits-enfants.
Essayons de ne pas généraliser !
Gardons cette ouverture si précieuse et faisons preuve de souplesse. Regarder un film avec ses grands-parents le samedi soir en mangeant des pop-corn n’est pas un drame ! D’ailleurs les enfants font très bien la différence entre ce qui est permis et ce qui est interdit.
Vous les parents, dites-vous que les grands-parents se sentent libérés de ne pas être le 1er responsable. De ce fait, ils peuvent s’autoriser à faire uniquement ce que leur petit enfant a envie de faire. Vivre un moment de partage. C’est ainsi que le lien se crée. Même si les générations sont différentes, l’important est d’avoir des liens de solidarité. Les différences de générations ne sont pas synonymes de distance, elles peuvent plutôt être synonymes de difficultés à se comprendre, de sources d’incompréhension. Et pourtant, l’altérité due à des générations différentes est une bonne chose.
Enfin, bon nombre de grands-parents sont démunis face au temps passé par leurs petits-enfants sur un écran. L’enfant, à ce moment-là reste avec ses alter égo et se prive de la richesse de la rencontre. Sans parler de l’état d’énervement dans lequel il est après ! C’est ce que nous dit cette étude d’Harvard sur le bonheur : être heureux c’est avoir des liens solides et des liens de qualité avec ceux qui nous entourent.
Gérer les vacances familiales
Les attentes sont grandes ! Les retrouvailles familiales sont bien souvent des demandes d’amour déguisées et nous idéalisons ces moments de retrouvailles. Rien à faire, votre fils célibataire s’agace du bruit, votre belle fille ne prépare les repas que pour ses enfants, votre conjoint trouve que sa femme est trop investie auprès de ses petits-enfants et vous êtes éreintée par le bazar ambiant ! Le décalage entre la réalité et le souhait de vacances harmonieuses s’appelle la déception ! A vous de la gérer et d’accueillir les petits frottements avec le sourire car ils sont normaux et naturels !
Combien parmi les grands-parents ont vécu une situation où vos conseils bien intentionnés n’ont pas été reçus comme prévu ? Pa exemple, vous avez envie d’enseigner à votre petit fils comment bricoler et réparer une chaise et votre fils vous invective en disant : « Papa, laisse-le tranquille, il a déjà beaucoup à faire avec l’école. » Vous, grand-père vous êtes senti rejeté, alors que vous vouliez juste partager votre savoir-faire.
Oser dire NON, c’est se dire OUI à soi-même. Il est parfois difficile de dire « non », mais c’est essentiel pour préserver votre bien-être. Imaginez un grand-parent qui, après des années de services intensifs, décide de bloquer un jour par semaine juste pour lui. Il explique à sa famille : « Je suis toujours là pour vous aider, mais le mercredi, c’est mon temps pour me reposer. » Ce n’est pas égoïste ; c’est équilibré. # oser dire non
Que disent les études sur le rôle des grands-parents ?
Une étude américaine a démontré que les enfants qui sont régulièrement en lien avec leurs grands-parents sont en meilleure santé mentale. C’est bon pour des parents d’avoir ce relai là quand ils se sentent bousculés ou hésitants voire même désorientés dans l’éducation de leur enfant.
Une étude publiée dans la Royal Society nous dit même que les grands-mères préfèrent leur petits-enfants à leurs propres enfants !
Conseils pratiques pour une grand-parentalité épanouie
Créez des rituels
Je pense à un grand-père qui, chaque année, plante un arbre avec ses petits-enfants dans son jardin. Ces arbres deviennent des symboles de leur lien, grandissant au fil des années. Et cette grand-mère d’origine italienne qui, chaque samedi, rassemble ses petits-enfants autour de la table pour préparer des raviolis, une recette transmise par sa propre mère. Pendant qu’ils cuisinent, elle leur raconte des histoires sur son enfance en Italie. Ces moments deviennent des souvenirs indélébiles pour ses petits-enfants, mais aussi un moyen de transmettre des valeurs : la patience, la famille, et la joie de partager un repas fait maison. #4 créer des rituels
Renforcez les liens intergénérationnels
Jouer permet de créer une zone de confiance. Rien de mieux que le jeu pour mieux se connaître et pour renforcer les liens. Rappelons-nous, l’homme étant un animal grégaire, jouer satisfait ses besoins d’être entouré, de partager. Le jeu assure donc une fonction de socialisation. Lenore Terr, (j’en parle dans le podcast #72 Le jeu pour être heureux,) psychiatre à l’université du Michigan, nous dit que l’élément psychologique fondamental est que le jeu permet de s’oublier soi-même. Et seul l’oubli de soi, associé au plaisir, permet de se dépasser et d’être créatif. « Voilà la grande différence entre les enfants et les grandes personnes. Les premiers jouent pour se découvrir et se structurer. Les seconds, pour s’oublier et se dépasser ».
Le jeu permet une rupture avec le quotidien, un plongeon dans un autre univers. Dans notre monde souvent plus stressé et stressant et très normé, on comprend que cette évasion soit de plus en plus utile ! Créer cette bulle de confiance, où chacun apprend à mieux se connaître est une des raisons pour laquelle j’ai créé les jeux 2 minutes de bonheur.
Chez les seniors, il est intéressant de noter que le jeu permet également de freiner le vieillissement. Plus on joue, plus on utilise nos fonctions cognitives et plus on les préserve. Le jeu donne un regain de vivacité, un nouveau souffle, une sorte de nouvelle jeunesse… Le jeu nous permet aussi d’entretenir notre mémoire. « Jouer ne permet pas de vieillir moins, mais bien de se sentir moins vieux » !
Osez vous lâcher !
Pour vous, l’enfance est un paradis perdu ou l’évocation d’un passé douloureux. Un adulte n’est pas que sérieux ! Osez libérer l’enfant en vous ! Vous verrouillez l’enfant en vous car vous n’avez pas eu la place d’exprimer vos émotions. Vous n’osez pas laisser jaillir vos désirs car vous craignez qu’ils s’échappent sans filtre et sans raison ! Et vous avez peur de vous lancer à corps perdu sans réfléchir ! Voyez plutôt l’enfant en vous comme celui qui a envie d’apprendre, qui est curieux. Et parfois, oser partir écouter un concert dans la fosse avec votre petite fille ne fait pas de vous une fumeuse de cannabis !
Être connecté à la réalité de vos petits-enfants peut faire toute la différence. Apprenez à mieux comprendre les réseaux sociaux grâce à vos petits-enfants ados, osez faire un grand 8 dans un parc d’attraction, faites ensemble une activité créative (poterie, peinture ou même du théâtre).
Exprimer vos émotions positives
Les émotions positives comme la joie, l’intérêt, la satisfaction, la fierté et l’amour élargissent l’éventail de nos pensées et nous mettent en mode action ! Nous avons alors un schéma de pensée plus flexible, créatif, intégratif, ouvert à l’information et efficace. C’est ce qu’a développé Barbara Fredrickson en 1998 avec sa Théorie de l’élargissement et de la construction #235 Le rôle des émotions positives
La joie, par exemple, nous donne l’envie de jouer, de repousser les limites et d’être créatif. #246
La curiosité, élargit notre état d’esprit en créant le besoin d’explorer, d’absorber de nouvelles informations et expériences.
La fierté, permet les réalisations personnelles, augmente le besoin de partager ses nouvelles réalisations et donne envie d’envisager des réalisations encore plus grandes.
L’amour ressenti dans des relations sécures crée de manière récurrente l’envie de s’amuser, d’explorer et de savourer des expériences avec ceux qu’on aime.
Le rire mobilise 15 muscles, faire la tête en mobilise 40. « Reposez-vous et souriez » dit Christophe André ! Le sourire stimule la dopamine et diminue le niveau de stress, et en plus le sourire est contagieux. Il est à consommer sans modération. Un enfant rit 30 fois par jour et nous à peine 3 minutes. #22 Je ris pour me faire du bien
L’émerveillement : tous les jours, observez un coucher de soleil, un nuage avec une forme amusante, des amoureux qui se tiennent la main. Ou encore le sourire d’un enfant, un bon burger, un oiseau qui piaille, un bébé dans les bras de sa mère, un grand père qui rit avec son petit fils. Saisissez tous ces moments de joie.
Et surtout apprenez à vos petits-enfants ce vocabulaire !
L’impact sur la santé
Vivre des émotions positives réduit les affects négatifs. Le niveau de stress est donc moins élevé, on sécrète donc moins de cortisol. On est donc en meilleur santé et on a moins de problèmes cardiovasculaires. Rappelez-vous, les optimistes vivent jusqu’à 7 ans plus vieux que les autres.
Transmettre pour se sentir dans une filiation
En fait, le plus important est d’inscrire ses enfants et petits-enfants dans une filiation, c’est-à-dire dans une histoire. On se souvient tous des récits d’antan où les grands-parents étaient les gardiens de la mémoire familiale. Peut-être vous reconnaissez-vous dans cette image : racontez à vos petits-enfants comment vous viviez jeunes sans portable ! Ou comment se passaient les vacances avec vos grands-parents !
Être grand-parent est une aventure extraordinaire, parfois épuisante, mais toujours enrichissante. Chaque moment que vous partagez, chaque oreille que vous tendez, chaque câlin que vous offrez est une pierre précieuse dans la construction de l’identité des petits- enfants.
Je terminerai avec cette pensée :
“Comme un arbre, votre force ne vient pas seulement de vos racines, mais aussi de votre capacité à vous adapter, à plier sans rompre, et à continuer de croître.”
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En résumé, Les grands parents d’aujourd’hui
- Restent les gardiens des traditions
- Ont besoin de faire preuve d’adaptabilité
- Cherchent un équilibre entre soutien et autonomie
A vous de jouer chers auditeurs, la carte de 2 minutes de bonheur vous invite à vous rappeler et à savourer des moments précieux que vous avez vécus avec vos grands parents.
Avec Bulle de Bonheur, prenez le temps d’être heureux
La Petite Mousse de 2 minutes de Bonheur
« Les grands-parents saupoudrent de la poussière d’étoiles sur la vie de leurs petits-enfants. »